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 Aellia Jones

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AuteurMessage
Aellia Jones

Louve aux crocs acérés.

Aellia Jones

Féminin Messages : 153
Age : 31
Localisation : Sur le Champ de Bataille...


Vous
Age: 17 ans
Arme/ Pouvoir : Shuo-Gun (baton avec une lame à chaque extrémité)
Relation:

Aellia Jones Vide
MessageSujet: Aellia Jones   Aellia Jones I_icon_minitimeMar 17 Aoû - 20:56

Biographie

Aellia JONES

Surnom : Lilly, La Felonne, La Louve
Age : 17 ans
Date de Naissance : 13 Juin
Sexe : Feminin
Sexualité : Bisexuelle
Origine : Française mais se déclare volontiers Japonaise car elle porte un amour réel pour ce pays.


Spécificité
Groupe : Exorciste

Pouvoir / Innocence : ShuoGun, un bâton à lames double-tranchantes rétractables. Aellia possède une demi-étoile, apparues lors de sa première synchronisation avec son innocence, sur chaque paume, se complétant l’une l’autre.
Niveau 0 : C’est un simple bâton d’environ 1m20
Niveau 1 : C’est un bâton aves une lame double tranchant à chaque extrémité. Aellia attaque au corps à corps. Sa vitesse d’attaque est moyenne et son esquive bonne.
Niveau 2 : Les lames se décrochent du manche. Une bulle de vent se forme autour d’Aellia, permettant aux lames de voler autour d’elle. Elle peut attaquer à distance en envoyant les larmes, qui reviennent telles des boomerangs, sur ses ennemis. Sa vitesse d’attaque est plus haute et son esquive reste bonne. Son don a tendance à se mélanger au vent de sa bulle protectrice.
Niveau 3 : Les lames peuvent être soit raccrochés, soit encore décrochés. La bulle de vent s’agrandit et s’intensifie. Le don d’Aellia se mélange à son innocence et elle peut infliger des blessures psychologiquement douloureuses aux akumas. Sa vitesse d’attaque devient considérablement élevée mais son esquive réduit.

Don : Aellia est empathique à la souffrance. Avant qu’elle ne devienne exorciste, cette empathie existait déjà mais était moins poussée. Avec sa synchronisation au ShuoGun, cette empathie s’est sensibilisée au point qu’Aellia ressente la moindre souffrance autour d’elle et en souffre elle-même. Elle peut, néanmoins, reconnaitre un akuma d’un humain par la souffrance qu’il ressent.

Maladie : Elle est atteinte de crise d’épilepsie et de spasmophilie.

Autre : Elle aime la nature, et n’hésite pas à s’y isoler pour se ressourcer. Elle parle couramment plusieurs langues : Français & Japonais car elle a vécut dans ces pays, Anglais et Espagnol car elle les a apprit à l’école, Coréen grâce à Siobban.


Histoire
C’est un 13 juin que débute l’histoire d’Aellia. Dans le monde, de nombreux enfants naissaient et aucun n’était destiné à la même vie qu’elle… aucun sauf un. Quelque part dans le monde, en Corée du Nord, une petite fille naquit aussi. Les Parques, dans leur monde invraisemblable, choisirent de lier le fil de vie des deux nourrissons…

Il faisait chaud. Horriblement chaud. La France crevait sous une canicule sans précédent. Les autorités avaient interdit l’arrosage des jardins et même les cultures étaient restreintes. La population s’était alors réfugiées dans les maisons, à l’ombre des murs et tentaient de conserver la fraicheur en gardant les volets hermétiquement fermés. La France n’avait pas connu un temps pareil depuis de longues années.

Dans un petit cottage en bord de la Manche, une famille était réunie pour fêter l’anniversaire d’une jeune femme. Elle se prénommait Maélys et avait épousé Etan, trois ans auparavant. La famille proche avait été invitée à cet honneur. Ils avaient passé la journée ensembles dans la joie et la bonne humeur. Lorsqu’il fut 17 h, les invités reprirent leur voiture qui était de vrais fours micro-ondes, et repartirent chez eux. Maélys et Etan se retrouvèrent seuls. Ils dinèrent en tête à tête et, après le repas, Etan se retira dans leur chambre sous prétexte de la fatigue. Maélys demeura seule. Il était 23h lorsque le drame survint.

Elle s’était brusquement sentie mal. De violents maux de ventre l’avaient déchirés et, inquiète, elle s’était trainée jusqu’au toilette. Assise à même le sol, elle avait souffert de longues minutes sans comprendre ce qu’il se passait. Puis, elle avait perdu les eaux. Là encore, elle n’avait pas compris mais, malgré la peur qui l’étreignait, elle n’avait pas eut la force d’appeler son époux. Elle était donc rester à même le sol, de longues minutes, puis elle avait accouché dans la souffrance et la peur. La vie lui offrait son cadeau d’anniversaire : une petite fille naquit. Ensuite, tout se passa très vite. Le bébé ne cria pas, comme le voulait la médecine et la nature. Pas un bruit, pas un mouvement. Maélys paniqua. Elle ne comprenait plus rien. Ses gestes furent automatiques, empreint de folie et de terreur. Elle attrapa une serviette et se nettoya rapidement. Ensuite, elle attrapa un sac poubelle et y glissa le corps du défunt bébé. Puisant dans ses réserves, elle se leva et alla déposer le sac poubelle devant la maison, là où s’entassait les ordures pour le lendemain matin. Elle retourna dans la maison.

Il lui fallut alors quelques minutes pour revenir à la réalité. Prise d’horreur, elle couru réveiller son mari et elle ne put dire qu’une seule chose « Appel la police, j’ai commis un crime ». Etan la força alors à se calmer et lui demanda de s’expliquer. Lorsque ce fut fait, il paniqua et sortit dans la rue. Il ouvrit le sac poubelle pour découvrir le nourrisson… vivant.

Ceci brisa définitivement la vie du couple. Maélys sombra dans une dépression qui sembla ne jamais avoir de fond. Ne parlant plus, mangeant à peine, ne s’intéressant à rien d’autre que le silence, elle se laissa lentement sombrer. Etan, lui, commença par prendre soin du bébé. Il l’amena à l’hôpital où elle fut enregistrée dans les registres, puis il la nomma à l’aide d’une infirmière : Aellia. Après un bilan de l’état de santé du bébé, ils rentrèrent tous les deux à la maison. Avec le temps, un froid se posa dans le couple. La distance devint malsaine et le poison s’infiltra jusque dans l’air de la maison. Le bébé, lui, grandit dans l’ignorance d’une mère, et l’amour froid d’un père.

A 3 ans ses parents se séparèrent et l’enfant demeura auprès de sa mère car son père n’avait pas les moyens de les faire survivre tous les deux. Aellia marchait depuis longtemps déjà, mais aucun mot ne sortait de sa bouche. Sa mère, indifférente, ne lui accordait aucune attention si ce n’était le minimum vital. A chaque fois qu’elle la touchait ou qu’elle la regardait, une haine et un dégout sans fond noyaient ses yeux. La petite, encore bambin, ne comprenait pas et pourtant, le ressentait déjà…Elle continua de grandir dans la froideur de sa maison et de son caractère renfermée.

Elle avait 5 ans lorsqu’elle osa prononcer sa première phrase, d’une voix mal assurée : « Maman, pourquoi… tu as… mal… ? ». Au lieu de provoquer un élan de remords ou d’amour de la part de sa mère, elle déclencha la peur et un dégout encore plus profond. Aellia prononçait ses premiers mots pour parler de la souffrance des autres… Elle osait dire ce qu’elle avait toujours ressenti à voix haute et la réaction de sa mère la brisa. Elle se mura dans le silence et la souffrance qu’elle ressentait par empathie, comme dans une torture.

La même année, sa mère décida qu’elle ne pouvait plus s’occuper de l’enfant. Comme par hasard, une cousine qui avait toujours désiré ardemment avoir un enfant –mais était restée vieille fille- passa chez Maélys pour prendre de ses nouvelles et dire au revoir ; En effet, elle partait pour le Japon où elle avait trouvé un nouvel emploi. Sur la demande de Maélys et l’envie face à la petite fille, Anna accepta d’emporter Aellia avec elle. L’enfant quitta donc sa mère pour une nouvelle terre d’accueil. Anna et l’enfant firent d’abord un rapide tour de France pour dire au revoir à la famille, puis elles embarquèrent. Elles s’établirent près d’Osaka dans un petit village calme et presque traditionnel. Le temps reprit son cours.

Aellia continua de grandir dans le besoin incessant de bouger et de tout voir et le silence. Toujours muette, elle ne s’attira pas l’amour de la cousine de sa mère qui la jugea vite trop froide et étrange pour être une véritable petite fille. Néanmoins, Anna avait bon cœur. Elle autorisa l’enfant à faire ce qu’elle voulait. L’enfant eut tôt fait de choisir. Son besoin de mouvement se tourna vers les arts martiaux. Elle débuta la capoeira et l’aïkido la même année. Elle avait 5 ans et elle était déjà une petite combattante.

Les années passèrent et l’enfant continua de s’épanouir entre l’école et les arts martiaux. Elle avait reprit lentement le gout de parler avec quelques personnes qui avaient su gagner sa confiance et son amitié. Elle restait cependant très calme et silencieuse. Rejetée par les autres enfants car étrange et étrangère au pays, elle mit toutes ses forces dans ses activités extrascolaires. Ce fut auprès de son professeur d’aïkido qu’elle s’épanouit le plus. Homme fort et d’une douceur sans comparaison, il sut gagner la confiance de l’enfant et devint comme un père pour elle. De plus, l’enfant se révéla être une excellente combattante avec une vivacité sans pareil. Elle devint très vite une des meilleures de son dojo.

Ce fut sa neuvième année qui marqua un tournant dans sa vie. Tout d’abord, en début d’année, son dojo reçu un important cadeau, héritage donné par un ancien élève. C’était une arme incroyable, quasi inexistante sur la surface terrestre : elle était constituée d’un bâton d’environ 1m20 et d’une lame à chaque extrémité. Un ShuoGun. Elle avait pour réputation d’être enchantée. Une légende racontait que quiconque se battait avec ne pouvait perdre le combat. Aellia voua une réelle fascination à l’étrange arme et son professeur qui l’avait remarqué lui proposa de l’essayer. L’événement se déroula au cours d’un tournoi qui rassemblait différents arts martiaux. Aellia avait déjà présenté la capoeira qu’elle pratiquait toujours ainsi qu’un combat au katana avec son professeur. Il ne lui restait plus qu’à présenter le combat avec le ShuoGun. Sa démonstration, en solo, fut impressionnante et parfaite. L’assemblée en eut le souffle coupée. Son professeur pour la récompensée, lui offrit le ShuoGun. Avec ce cadeau, ce fut la vie de la jeune fille qui s’illumina.

Pourtant, quelques mois plus tard, tout bascula. Aellia rentrait chez Anna lorsqu’elle découvrit un homme avec sa mère d’adoption. Il se présenta comme un représentant du Vatican et plus spécialement de l’Ordre Noir. Avec la permission d’Anna, qui étrangement la donna facilement, il emporta la petite fille en expliquant qu’elle avait été recrutée par une compagnie prestigieuse d’art martial. Aellia avait à peine 9 ans et déjà elle pénétrait dans le monde adulte et la souffrance qui l’entoure.

L’enfant fut menée à travers les continents jusqu’à un endroit qu’on lui présenta comme la Tour de la Congrégation. On l’y accueillie, lui expliquant le rôle de cet endroit et des personnes s’y trouvant. On lui expliqua, ensuite, qu’elle était elle-même compatible et qu’elle pouvait devenir une exorciste aussi. L’enfant qui n’avait jamais vu une telle proposions se poser dans sa vie accepta avec empressement. Son rêve d’aventure devint cauchemar lorsqu’on lui expliqua que c’était sa nouvelle arme fétiche l’innocence, et que l’on devait détruire son ShuoGun pour récupéré l’innocence qu’il contenait. Elle refusa.

S’en suivit alors une longue période où l’enfant fut enfermée dans une des chambres de la tour. Elle n’avait plus le choix. C’était soit resté enfermé, soit accepté de devenir exorciste et détruire le ShuoGun. Le temps passa. L’enfant refusa tout d’abord de parler à qui que se soit, devenant violente avec ceux qui osaient s’approcher d’elle. Ensuite, elle se terra dans l’apathie. Puis finalement elle refusa de s’alimenter… Pourtant la mort n’eut pas raison d’elle. On la nourrie de force par intraveineuse. Comprenant qu’elle n’avait plus de solution, elle accepta.

La destruction de son arme fut une vraie torture pour l’enfant. Elle la subit néanmoins sans rien dire, cachant ce que cela provoquait en elle. Ensuite, on l’amena auprès d’Hevlaska et elle se synchronisa avec le cristal de dieu. En résultat deux choses. La petite fille vit apparaitre une demi-étoile dans chacune de ses paumes, se complétant l’une l’autre, et son empathie, qui existait en elle depuis la naissance, se fit beaucoup plus sensible. Elle ne prêta aucune attention à ceci et demanda à récupérer son arme… Ce fut la que l’innocence, comme si elle avait comprit la douleur de la petite fille, recréa sous ses yeux le ShuoGun et s’y logea. Ce fut dès l’instant l’arme avec laquelle Aellia devint exorciste.

Ensuite tout se passa très vite. Aellia dut apprendre à vivre avec la douleur incessante du monde dans lequel elle vivait. Elle ne s’en plaignit pas. Puis, on l’envoya en mission et là, elle en profita. Jamais elle ne revint à l’Ordre Noir et prit la fuite. Elle fut alors considérée comme une félonne, bien qu’elle continua à battre les akumas qu’elle rencontrait et de s’arranger pour prévenir lorsqu’elle découvrait une innocence. Sa vie reprit, plus libre que jamais auparavant, plus solitaire que jamais…

Elle avait 11 ans lorsqu’elle fit la rencontre de sa vie. Elle était sur les chemins depuis 1an et demi et elle faisait tout son possible pour éviter tout contact avec des représentants de l’Ordre Noir. Elle ne portait ni l’habit, ni la Rose représentant l’organisation vaticane. Ce fut au cours d’une halte dans une vieille ville française qu’elle rencontra une jeune fille qui avait elle aussi été destinée à devenir exorciste. A peine se furent-elles croisées qu’elles comprirent que quelque chose d’étrange et d’unique les liait. Elle s’appelait Siobban et avait le même âge qu’elle, au jour près. Coréenne, elle avait été recrutée par l’Ordre depuis très peu de temps mais ressentait le même sentiment de haine et de liberté qu’Aellia. Dans un accord mutique, elles continuèrent leur périple ensemble, fuyant ensemble, vivant ensemble.

Pendant 6 ans, elles traversèrent de nombreux pays ensembles. Se protégeant mutuellement, vivant pour l’autre plutôt que de vivre pour elles-mêmes, se liant intimement et irréversiblement, elles devinrent sœurs d’esprits. Même lorsqu’elles se séparaient, pour de très courtes périodes car elles ne le supportaient pas, elles continuaient à rester en connexion, comme si un lien plus profond qu’elle ne pouvait le comprendre existait entre elle. Les defaults d’une complétaient les qualités de l’autre.

Ce ne fut que lorsqu’elles furent âgée de 17 ans qu’elles revinrent vers l’Ordre Noir. Elles trouvèrent la tour de la Congrégation détruite. Prenant conscience qu’il était temps maintenant de s’engager véritablement dans le combat, elles réussirent à retrouver Komui Lee et rejoignirent la Tour de la Congrégation. Toujours considérées comme des félonnes, elles eurent beaucoup de mal pour s’intégrer aux combattants, traqueurs et scientifiques. Néanmoins, elles ne purent être rejetés car elles demeurèrent par leur spécificité et leur parfaite union un atout précieux dans le combat.

Au jour d’aujourd’hui, elles demeurent parmi l’Ordre et se plient aux ordres de leur supérieur. Elles n’en restent pas moins solitaires et en quête de liberté. Bien décidé à finir cette guerre au plus tôt, elles jouissent d’une certaine réputation au sein de l’Ordre pour leur talent quand elles combattent en duo.


Physique
Aellia est une jeune fille de 17 ans. On peut dire d’elle qu’elle a un physique commun quoique jolie, elle a néanmoins développé un style bien à elle qui la rend unique et, bien souvent, attirante, aussi bien par une certaine beauté qu’un événement de foire. Totalement anticonformiste et imaginative, elle a fait de son corps un mannequin vivant qu’elle aime affubler de beaucoup de style différent qu’elle customise à son bon vouloir. Enfin, commençons par le début.

Jeune fille entre l’adolescente et la jeune femme, Aellia possède un peu des deux âges. De taille moyenne, quelques 170cm, elle possède une corpulence adaptée, voir légèrement inférieur, à sa taille. Elle est fine, certain dirait même frêle si elle ne possédait pas de longs muscles fins. En effet, elle est sportive et aime entretenir son corps. Elle n’est, cependant, pas musclée outrageusement mais possède des muscles tout en longueur, qui dessinent un silhouette élancée, tout en souplesse. De ce point de vue, Aellia peut être jugée comme jolie, en gardant des formes là où il faut.

Pour continuer, cette jeune fille de 17 printemps, est une jeune femme au teint très pale. Quasiment blanche-albinos, sa peau refuse de prendre un joli teint halé au soleil. A la place, elle brûle. Selon certaine personne, elle est albinos, selon d’autre elle est simplement allergique au soleil. Pour Aellia, ce n’est juste une chose de plus l’énervant. Bien que maintenant elle sache en tirer avantage, elle n’a jamais complètement accepté le fait de ne pas pouvoir lézarder au soleil comme les autres.

Autre bizarrerie, chez elle, sont ses cheveux. Ceux-ci ont une étrange couleur blond-blanc, tirant plus sur le blanc qu’autre chose. Lorsque la lumière se reflète sur cette crinière incolore, elle semble prendre des reflets allant du blond paille, à l’or voir au cuivré doux. Ceci contraste à merveille avec son teint et créer chez cette étrange jeune fille, un charisme particulier qui en étonnent certain(e)s et en révulsent d’autres.

Cette masse de longs cheveux encadre un visage en forme de cœur. Tout aussi claire que le reste de son corps, il est toutefois pourvu de quelques couleurs lorsque certains sentiments trainent dans la jeune femme. Elle possède d’incroyables yeux dorés virant selon son humeur et le temps au cuivré ou au platine. Toutefois, lorsqu’elle s’énerve, ils prennent vite une couleur allant du brun ambré à un noir nuancé de reflet d’or.

On peut finir par les gouts vestimentaires d’Aellia. En effet, on ne peut pas vraiment dire qu’ils soient très communs. Totalement anticonformiste et imaginative, elle invente chaque jour un nouveau style d’affaire. En effet, la jeune fille n’hésitera jamais à mélanger du trend avec du gothique ou du Visual Kei. Comme elle aime le dire, elle porte ce qu’elle a envie, quand elle en a envie. Ainsi, elle peut venir habillée très classe, voir même très féminin, et le lendemain porter des affaires d’hommes. Etrangement, tous les styles lui vont plutôt bien et montre son besoin de s’affirmer et de rejeter les normes.

Néanmoins, lorsqu’elle est en mission, Aellia porte des affaires près du corps, souvent de couleur noire. Elle veut pouvoir être à l’aise en toutes situations et réagir vite. Elle préfère porter un short et un marcel sombre, mais il lui arrive d’accepter de porter d’autres genres d’habits. Pour les missions à l’étranger, elle porte souvent une cape en plus de ses habits. Elle n’a, sur aucun de ses habits, la rose de l’Ordre Noir et elle refuse de la porter.

Pour finir n’oublions pas les deux demi-étoiles qu’elle porte dans chacune de ses paumes qui sont complémentaires l’une de l’autre et qui sont apparus lorsque son innocence lui à reconstruit le Shuo Gun. De plus, lorsqu’elle n’est pas menacée et que son innocence n’est pas active, Aellia porte le Shuo Gun –alors à l’état d’un bâton d’environ 120cm- dans le dos de manière à pourvoir s’en saisir rapidement en cas d’agression.


Caractère
Au niveau caractériel, Aellia est quelqu’un de difficile à cerner. Avec ceux qu’elle apprécie et qu’elle considère comme ses amis, elle révèle sa vraie personnalité. Pour les autres, ils n’ont le droit qu’à une façade qu’elle a si bien développée au fil des années qu’elle s’en est même imprégnée.

Tout d’abord, elle est une jeune fille que l’on caractérise de solitaire. Se mêlant difficilement aux autres, elle ne supporte pas la foule. Même si elle n’en a jamais parlé, elle a presqu’une peur panique des grands espaces bondés de gens, où l’on peut à peine respirer. Froide à première vue, elle semble refuser tout contact avec les autres. Elle parle peu et écoute beaucoup. Ceci est une carapace de protection. Elle aime se retrouver seule la nuit et profiter du ciel étoilée. Ceci lui a, en plus, donner une excellente vue nocturne.

Ensuite, en plus de ce côté solitaire, Aellia est connue pour une certaine violence. Se contrôlant plutôt bien, il vaut mieux se tenir loin d’elle lorsqu’elle s’énerve pour de bon. Incontrôlable et d’une violence sans limite, elle pourrait se retourner contre un ami sans vraiment s’en rendre compte. En effet, dans ces périodes, souvent très courtes, elle n’a plus conscience de ce qui se passe autour d’elle. Elle ne se rend plus vraiment compte de ce qu’elle fait et ne peut donc pas s’arrêter facilement. Lorsqu’elle ressort d’un de ces accès de violence, elle est souvent très fatiguée et apathique. Elle devient alors très vulnérable.

Néanmoins, sous cette carapace violente et solitaire, se cache une jeune fille douce et altruiste. De fait de son empathie, elle essaye toujours, à couvert, de rassurer les gens, voir des les aider à extériorisé leur souffrance. Elle aimerait pouvoir aider tout le monde et ce dans un but à la fois altruiste et égoïste. Lorsqu’elle considère quelqu’un comme son ami, ou qu’elle l’apprécie suffisamment, elle se révèle être une jeune fille souriante et calme. Très douce avec les gens, elle cherche à ne jamais dire un mot de travers. Logique, elle réfléchit avant d’agir et permet, ainsi, pendant les missions, d’éviter de foncer dans les pièges.

Aellia aime beaucoup jouer et a, d’ailleurs, un sens assez étrange du jeu. En effet, elle adore des défis et encore plus les défis dangereux et stupides. Elle aime passer au dessus de ses limites. Pour elle, c’est une manière de se prouver qu’elle est en vie et qu’elle n’est pas encore prête à mourir. Ce besoin de jeu dangereux, à développer en elle, une vivacité et une souplesse à toutes épreuves. Cette obsession pour le danger est accrue par la curiosité qui dévore la jeune fille. En effet, elle est un gouffre de curiosité et n’hésite pas à se mettre dans des positions compromettantes ou dangereuses. Ceci contredit totalement sa logique et cela provoque souvent en elle des délibérations qui l’entrainent dans un monde intérieur et où elle se coupe de la réalité. C’est aussi pour cette raison qu’elle n’a pas peur de gouter, voir, toucher à tout. Elle fume de temps à autres, par période. Elle a déjà touché à la drogue mais Siobban lui a interdis de recommencer.

Par contre, cette jeune fille est quelqu’un de très loyale. Donnant sa confiance, elle restera fidèle à sa parole et ce qu’implique une amitié. Jamais elle ne laissera un ami dans les ennuis. Elle préfère se sacrifiée à la place de quelqu’un qui lui est cher. Pourtant, ayant compris à quel point il est dur de protéger quelqu’un de précieux à son cœur, elle a beaucoup de mal à donner sa confiance. Lorsqu’elle le fait, cependant, elle la donne en entier, quitte à devenir quelque peu naïve.

De plus, elle est une jeune fille renfermée. Parlant très peu d’elle, elle voit les psychologues et autres personnes censées la comprendre comme des ennemis. Ceci vient de son enfance, et elle n’a jamais plus réussit à voir ces personnes comme des gens digne de confiance. Ceci c’est, peu à peu, généralisé, et maintenant, elle refuse constamment de parler d’elle ou de ses problèmes à qui que se soit, enfermant ses souffrances en elle.

Pour ce qui est des besoins naturels des humains, elle est assez étrange. Mangeant très peu voir même à peine, Aellia n’apprécie pas la nourriture ni passer du temps assise à une table. Pour elle, manger c’est éviter la mort et la faiblesse, rien de plus. Pour cette raison, elle a l’habitude de sauter les repas et mange lorsqu’elle en a envie. Heureusement pour elle, lorsqu’elle est forcée d’être présente à un repas, elle sait qu’elle peut redonner son surplus de nourriture à son amie car Siobban, exorciste symbiotique, a besoin de grande quantité de nourriture. De même, elle forme un bon duo car lorsque Siobban a besoin de sommeil, Aellia peut veiller sur elle et sur les environs. En effet, de part son existence rejetée et l’affinement de son empathie, la blonde n’a jamais beaucoup dormis. Désormais, il ne lui faut que quelques petites heures de sommeil par nuit pour être en forme.

Pour finir, on peut dire qu’Aellia est quelqu’un de ‘croyant’. Lorsqu’elle revient d’une mission et qu’il y a eut des pertes –exorcistes, traqueurs ou simples humains-, elle se rend automatiquement dans les salles de méditation pour prier et recommander l’âme des morts à Dieu. C’est une manière, pour elle, d’extériorisé alors la souffrance qu’elle a accumulé lors de la mort de ces êtres vivants. C’est aussi une manière de ne pas laisser la folie s’emparer de son esprit comprimé par les ressentit de ceux qui l’entourent.



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Aellia Jones

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